Le ciel est gris
L'air est froid
Tombe la pluie
Sonne le glas.
A quoi bon rire
Si personne ne répond.
Pourquoi rêver ?
Si tout est gris.
Ma seule amie est solitude
Les autres ne sont apparemment
Qu'un mirage dans le désert.
Je suis seule et solitaire
Pourquoi ?
1. refletdelalune le 11-01-2009 à 20:16:51 (site)
La réponse est au fond de ton coeur, mon amie.
Bisous.
Prends bien soin de toi.
3. jujuprotectricedesanimaux le 01-02-2009 à 12:50:08 (site)
oui c'est comme l'ennui
L'ennui
fait partit
de la vie même dans les poésies ...
Bisous
Chiffres et lettres se rassemblent
pour ne former qu'un seul mot
Je me noie dans leur ensemble
Comme dans une flaque d'eau.
2. 2h10 le 11-01-2009 à 17:21:32
Super poemes.
J'fais ma pitite pub egalement pr mon blog qui manque cruellement de visite
http://2h10.vefblog.net
tchou !
3. idees_vagabondes le 11-01-2009 à 20:30:34
Refletdelalune,
Quel poème t'inspire cette image :
http://idees_vagabondes.vefblog.net/montre_photo.php?photo=http://www.atelier-manda.fr/images/shiki_bg/shiki_95.jpg&l=314&h=350
4. refletdelalune le 12-01-2009 à 20:50:35 (site)
Il faut que je compose un poème sur cette image-là ?
Bisous.
5. idees_vagabondes le 13-01-2009 à 08:22:11
Oui c'est sur cette image, si elle t'inspire !!
Escuchad a los niños
Porque no son como vosotros.
Quieren jugar y aprender
Pero a veces
Deben trabajar para comer.
Proteged a vuestros hijos
Y no maltratad a ellos
Porque todavía inocentes
Son preciosos y frágiles.
Quered a los jovenes del mundo
Y enseñad a ellos
Como vivir y realizar sus sueños.
1. audré le 30-01-2009 à 13:44:13
les poèmes en espagnol c une bonne idée mais tu pourrais pas mettre la traduction en dessous (ou alors c pour nous faire réviser?) Mais c pas grave j'ai compris l'idée
Dehors les vagues déchaînées se fracassaient sur les rochers de la baie.
La mer avait revétue son manteau d'embruns. Dans le port, les bateaux tanguaient, les cliquetis des mâts et les cris des mouettes et goélands résonnaient. Les vagues éclaboussaient le chemin de la jettée.
La nuit commençait à tomber, le phare venait de s'allumer guidant les marins dans l'obscurité.
Assise sur un grand fauteuil de cuivre, je regardais la vieille cheminée normande, batie avec des grosses pierres comme la maison, avec une magnifique ardoise pour faire le haut de l'encadrement. Une longue pièce de fer tapissait l'arrière de la cheminée.
Un grand feu l'illuminait.
Les flammes jaunes crépitaient ne laissant qu'une très légère trace de fumée.
Des braises rouges, émmanait une chaleur familière qui chauffait la maison.
La fumée s'échappait par le conduit noir et haut de la cheminée.
Les flammes léchaient les buches sèches qui se consumaient doucement.
La pluie battante qui martelait les carreaux s'était arrêtée. Du feu, ne restait que quelques braises qui rougeoyaient encore.
Il faisait sombre et le silence s'était installé.
Je m'étais endormie.
1. refletdelalune le 11-01-2009 à 20:37:44 (site)
il est de toi, cette petite histoire.
Car c'est tèrs bien décrit.
Bisous
2. idees_vagabondes le 12-01-2009 à 09:01:24
Oui cette petite histoire est de moi !
Bonne journée
3. refletdelalune le 12-01-2009 à 12:28:21 (site)
Je l'ai relu ce matin pour apprécier tes petits mots pleins de douceur. Avec un froid pareil, on amerait bien se retrouver devant une cheminée pour se réchauffer.
Bisous, chère Juliette et douce journée.
4. audré le 30-01-2009 à 12:15:06
très bien écrit mais je voudrais savoir la suite... et puis l'endroit me fais penser à (je sais pas pourquoi) la normandie et le becquet (c bien écrit?)
Commentaires
1. refletdelalune le 11-01-2009 à 20:14:59
Reviens la lumière
Réchauffant ton coeur
Tarrissant te pleurs
Eclairant ton univers.
Bisous, miss
2. idees_vagabondes le 11-01-2009 à 20:23:17
Merci et comme ton poème est un commentaire, je l'ajoute !!!